Rosa canina

éditions

TEO LIBARDO

Il suffira

poésie

parution janvier 2021

ISBN 978-2-491577-04-9

Format 12 x 18 cm, 44 pages

Façonnage à la main

Prix public : 12 €



Retours de lecture

Note de lecture de Marie-Claude San Juan, août 2024

Le titre intrigue, mais, avant même de lire, ayant en mémoire les pages du livre précédent, on croit deviner l’intention. Puisque sont connus les paradoxes de la vie et de la conscience, pour vivre et créer il faut poser une décision, qui comprend la mesure des limites à définir. Et c’est le premier vers : Il suffira de le vouloir. C’est au futur car c’est en devenir. Désiré, décidé, mais dans le tremblement intérieur de l’incertain, dans une dynamique intime, pas dans une évidence déjà donnée.(...)

 

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Lecture de Michel Diaz, correspondance, janvier 2022

Je viens de relire Il suffira, après avoir (volontairement) oublié sa première lecture d'il y a quelques mois. La lecture, à voix haute (nécessairement !), en fait apparaître le souffle et le rythme, la musique des mots et des phrases, tout ce qui demande à être proféré, jeté droit devant et autour de soi. Il y a là une pulsion orphique, une énergie du verbe qui renoue avec l'élan vital que porte aussi la poésie. Si ce texte "appelle à se confondre dans la dilatation originelle", c'est réussi !

Lire ce texte d'une seule traite, dans les pauses et les reprises de la respiration, les staccatos de parole, ses accélérations, les images charriées qui semblent parfois prendre feu, semblent provoquer comme un "grand nettoyage" intérieur. On se sent alors comme neuf, prêt à prendre "la route vers l'aube". Lecture d'un beau texte, moment d'exaltation que l'on est heureux d'avoir vécu.

 

Critique de Rémy Soual, décembre 2021

Il suffit d’un mot juste pour que la parole retrouve une vertu cathartique, thérapeutique, salvatrice. La maison Rosa canina éditions en cultive la magie des pouvoirs, rassemblant essentiellement écrits poétiques et récits autobiographiques...

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Françoise Favretto, in L'intranquille n°20, avril 2021

Des associations surprenantes caractérisent la poésie de Teo Libardo : « déesses, brûlure et ombres ». Pas de classiques images. C’est la poésie du noyau dur, l’instant saisi, au plus fort. Parfois avec euphorie et belles assonances : « riantes routes rebelles » ou le bel alexandrin : « à la marche du temps / l’union est hirondelle ».

Revue L'intranquille, atelier de l'agneau éditeur